Septembre 2019
Les objectifs :
Ce voyage d’étude d’un an sera l’occasion de chercher des réponses à de nombreuses questions de fond qui se posent sur la transition énergétique et sur les différentes directions que celle-ci peut prendre. Voici les trois objectifs principaux objectifs que je me suis fixé pour ce vagabondage, afin de structurer mes recherches :
Cibler les potentiels des technologies développées pour la production, le stockage et la distribution de l’électricité ;
Etudier les technologies les plus enclins à être acceptées par les citoyens, dans quels contextes/quelles conditions, et explorer les voies d’améliorations possibles ;
Classer ces technologies selon les ressources nécessaires à leur mise en œuvre, l’impact de l’utilisation de ces ressources, et les possibilités de développement local.
Pour cela trois mots phares : ouverture, rencontre et échange.
La démarche :
Le but de ce voyage est de transmettre au mieux les connaissances qui seront accumulées, et de contribuer à la réflexion sur la transition énergétique.
La première étape sera de collecter des informations en visitant des sites de production d’énergie, des centres de recherche et développement, des projets d’énergie citoyennes, afin de rencontrer les acteurs de la transition et d’observer ce qui se fait déjà sur le terrain. Cette collecte d’information sera aussi effectuée par des recherches sur internet, la lecture de livres dédiés aux sujets en question, et tout simplement en parlant avec les personnes rencontrées sur la route.
La deuxième étape sera l’organisation de ces informations afin de restituer au mieux les découvertes et observations faites lors de mes rencontres. Pour cela, des articles appuyés par des photos et des interviews seront publiés sur le site de l’association et ses réseaux sociaux. Cette restitution sera faite de sorte à pouvoir être compréhensible par toute personne intéressée, sans pour autant négliger le fond des sujets abordés.
Un voyage alternatif :
Cette aventure en solitaire sera effectuée à pieds (avec un sac à dos quand même !), en utilisant le stop, le covoiturage et les transports en commun pour me déplacer, ainsi que le bivouac et l’hébergement chez l’habitant pour le logement. Ces choix auront pour but de faciliter les rencontres avec les habitants des territoires parcourus, tout en limitant les impacts de mon voyage sur l’environnement.
J’ai également choisi ce mode de voyage plus lent, afin d’avoir du temps pour découvrir les multiples initiatives développées dans les régions visitées et laisser place à l’imprévisible, en espérant faire de belles rencontres sur le chemin !